Une vraie bonne nouvelle !
En cas de cancer du sein, Barbara Andersen et son équipe de l’Université de l’Ohio ont mené une étude qui a mis en évidence l’intérêt d’associer à un traitement médical et à un suivi psychologique, un triptyque comprenant la pratique de l’exercice physique, une nutrition adaptée et la gestion du stress.
Le résultat est en effet très clair : » 11 ans après la fin de l’expérience, les femmes qui avaient suivi ce programme intensif ont eu un risque de mortalité diminué de 56%. Si on exclut les femmes qui ne sont pas allées au bout du programme, le risque diminue de 68% « .
Une vraie bonne nouvelle !