La crise nous force à nous rappeler que le meilleur n’est pas dans l’avoir, même si les inégalités sont réelles, mais dans des réalités aussi simples que la nature, les merveilles qui nous entourent et plus particulièrement les arbres, les fleurs, ou l’océan… quoi de plus reposant que d’entendre le bruissement des feuilles par beau temps, quand il y a un vent léger, dans un jardin… un parc, de plus beau que les fleurs… leur parfum, de plus propice à la sérénité… zen, propre au zazen… que le mouvement régulier des vagues, le bruit si particulier du ressac, au bord de l’océan, en toute quiétude… mais aussi la force des éléments, en cas de gros temps… ou plus simplement le doux bruit du cours d’un ruisseau, dans une forêt… des choses simples, en apparence, que nous ne voyons parfois plus, qui peuvent souvent aider… permettre de surmonter les difficultés de la vie (pas seulement matérielles, mais autres, quand il est question de la maladie d’un proche, de vie… et plus seulement de niveau de vie, car le bien le plus précieux reste d’abord la santé), accessibles à tous… avec la philosophie, plus essentielle que jamais face aux écueils à dépasser…
tres belle lecon de vie